Jeudi 20 mai 2010 ; Paris.
Ai envoyé aux patientes éditions Xénia, cette nuit, à six heures, les épreuves corrigées de "Espérer contre tout". Corrigées, c'est beaucoup dire : comme d'habitude, j'ai bouclé dans la précipitation, les relectures nocturnes tournant souvent en réécritures à l'emporte-pièce. Résultat : des passages brouillons, des fautes de forme à n'en plus pouvoir compter, toute une finition qui reste à faire après l'envoi du livre. Comme d'habitude. Il me faut revoir complètement ma manière d' écrire - les livres, mais aussi les articles, et jusqu'à ce journal, toujours tapé à la va vite…